Chorégies dOrange : Rencontre avec Amandine Ammirati, soprano Le Festival et lAdami sassocient à nouveau pour mettre en lumière le passage du texte à lécran par la lecture dun scénario de court métrage suivi de la projection du film qui en découle. Un exercice qui permet de se rendre compte des différences existant entre un scénario avant réalisation et le film. Sandor : Œdipe me poursuit, tout le temps! On sest revu à une terrasse de café, dans notre quartier commun, età la manière dont elle ma fait la bise, je savais que le courant passait. Au travers dune série de performances, lAdami propose pendant les deux week-ends du festival de redécouvrir 4 artistes auparavant présentés dans le programme Culture Experience Days. Ils ont pour point commun de travailler autour du corps, pour interroger la relation artistepublic grâce aux nouvelles technologies Lannée 2013 a été marquée par une autre lutte autour dun volet méconnu de la copie privée :. Alors que 75 de la somme collectée auprès des fabricants est répartie entre les ayants droit, la législation impose aux sociétés de perception et de répartition des droits que les 25 restant soient affectés à des actions daide à la création, à la diffusion du spectacle vivant et à la formation dartistes. À cet égard, une menace de taille a plané au niveau communautaire sur le financement de laction culturelle. Dans une affaire qui lopposait à une société de gestion collective autrichienne, Amazon estimait que la part prélevée sur le butin de la copie privée et affectée aux actions culturelle était illégale. Amenée en juillet dernier à se prononcer sur cette question, la a au contraire considéré quune législation nationale pouvait parfaitement affecter une partie de la rémunération pour copie privée à des activités de promotion culturelle. Une décision saluée par Aurélie Filippetti lors des Rencontres européennes de lAdami. Il faut maintenir ce système astucieux qui a fait ses preuves pour aider les artistes, estime la ministre tout en appelant de ses vœux une meilleure transparence B. B. : Contrairement à ce que suggère le projet de rapport, le droit dauteur et les droits voisins ne sont pas un obstacle à la création, mais un réel encouragement à linnovation et à la croissance. Missions : perception des droits dauteur de ses adhérents auprès des utilisateurs et répartition auprès de ses adhérents ou ayants droit. Réinventer lexception culturelle à lère numérique : quelle place pour les artistes Les Musiciens dans la révolution numérique, inquiétude et enthousiasme, Maya Bacache, Marc Bourreau, Michel Gensollen et François Moreau, collection évolutic, éditée par l, novembre 2009 Droits collectés : représentation dœuvres dans le domaine du spectacle vivant et représentation dœuvres dans le domaine audiovisuel. 2006 : Réinventer lexception culturelle à lère numérique, quelle place pour les artistes? Compagnie À Corps D-Sophie Béguier, Thomas Bodinier Créée en 1959, la SPEDIDAM est une société de perception et de répartition des droits des artistes-interprètes qui gère leurs droits de propriété intellectuelle. La SPEDIDAM permet aux artistes dexercer un contrôle sur les utilisations secondaires qui en sont faites. La SPEDIDAM répartit les sommes quelle perçoit aux artistes et en affecte une partie à la création artistique conformément à la loi.
Sandor Funtek : On sétait rencontré une première fois sur un épisode de Capitaine Marleau, je métais fait pourrir par la réalisatrice Josée Dayan et Sandrine mavait rassuré pendant un retour en voiture, en me disant de ne pas minquiéter. Elle avait été très bienveillante. Deux rencontres vont orienter définitivement son parcours: le sculpteur Ozzip Zadkine croisé à la Grande Chaumière, puis le sculpteur Collamarini, alors professeur aux Beaux-Arts de Paris, avec qui il se lie damitié et qui va influencer sa vision de la sculpture. A partir de 1970, il opte pour la noblesse des matériaux qui vont devenir sa signature : la pierre et le bronze. Installé à Pietrasanta depuis 1971, le marbre est devenu sa matière de prédilection pour son caractère pérenne. Le marbre blanc de Carrare, le marbre vert des Alpes, le rare marbre noir de Belgique, lonyx, lintrouvable porphyre lui offrent un champ dexpression en parfait accord avec ses créations grand format. Le bronze est utilisé pour des œuvres monumentales et de dimensions plus modestes, il réalise également des tirages précieux en argent. Le choix du matériau ne doit rien au hasard : tout est affaire déquilibre et dharmonie entre la forme, la couleur et le thème. Comme il le dit lui-même : la forme se décline à linfini, il y a encore tant à faire. Cette icône signifie que la Division culturelle vous a envoyé un message concernant votre dossier. Cliquez sur le triangle, puis sur le carré gris à droite, pour en prendre connaissance et y répondre.
Les comédiens et comédiennes sont tous formidables. Comment avez-vous croisé la route de Sandor Funtek et de Sandrine Bonnaire? Sandrine : Ce qui est chouette chez Sarah, cest quelle nous fait participer à la mise en scène. Ce nest pas une fille qui te dit Moi je suis la réalisatrice et toi tu es lactrice. Au contraire, elle sait que jai fait des films alors elle me demandait mon avis sur certaines scènes. Je suis contente de ses choix suite à nos conversations sur la mise en scène. Il y a des plans qui racontent en une image la détresse des deux personnages, notamment Ulysse qui continue à vivre, même dans ses efforts physiques pour ne pas craquer. 3 Questions à Sarah Marx, réalisatrice de LEnkas Le format des Culture Experience Days Music Maker cest :
Ils seront encadrés pendant toute la durée de leur travail par des mentors confirmés : Camille SAINT-SAËNS Sonate op. 166 en ré majeur, 2ème mouvement Formé par Roger Muraro, Jean-Frédéric Neuburger et Claire Désert, il obtient au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris ses Masters de piano, daccompagnement et de direction de chant mention très bien à lunanimité.